BertrandRussell, Éloge de l'oisiveté. (éditions ALLIA) - PHILOSOPHIE - BACCALAURÉAT 2010 - 2ème groupe d'épreuves Pour ceux (TL, TES1 OU TS1) qui sentiraient le besoin de préparer l'oral en philosophie, voici des indications pour présenter le texte de Bertrand Russell (ÉLOGE DE L'OISIVETÉ). Dansle salon de Bertrand Russell Le 3 avril, le centre culturel de Seyssinet-Pariset accueille le comédien belge Dominique Rongvaux avec « L’éloge de l’oisiveté ». Ce seul en scène, adapté de l’essai de Bertrand Russel, lui a valu le Prix de la critique en 2010. Un spectacle drôle et pertinent. Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné : Comment avez-vous Téléchargezgratuitement le livre Eloge de l’oisiveté, publié le 18/01/2002 par l'éditeur Allia en format .epub ou .pdf. Le fichier a des 38 pages et sa taille est de 182kb (fichier .epub). Le fichier a des 38 pages et sa taille est de 182kb (fichier .epub). cash. Bertrand Arthur William Russell 18 May 1872 – 2 February 1970 was a British philosopher, logician, mathematician, historian, and social critic. Subjects Accessible book, Philosophy, Protected DAISY, History, Political science, Mathematics, Theory of Knowledge, Socialism, Science, Social problems, Education, Philosophie, Russell, bertrand, 1872-1970, Politics and government, Philosophy, british, Philosophers, Knowledge, theory of, Free thought, Metaphysics, Philosophy, modern, 20th century, Skepticism, Civilization, Liberty, Psychology, Social ethics Places Europe, United States, Great Britain, China, England, Soviet Union, Germany, etc Pictures, illustrations, Cuba, France, Grande-Bretagne, Hamilton, New Delhi CJI justice scrapping Article 497, New York USA, Ontario, Russia, URSS, Westerse wereld, xi fang guo jia, ying guo People Bertrand Russell 1872-1970, Gottfried Wilhelm Leibniz Freiherr von 1646-1716, Gottfried Wilhelm Leibniz 1646-1716, Henri Bergson 1859-1941, Karl Marx 1818-1883, Louis Couturat 1868-1914, Ludwig Wittgenstein 1889-1951, Alfred North Whitehead 1861-1947, Ernest F. Everett, Gilbert Murray 1866-1957, Gottfried Wilhelm von Leibniz, Henri Louis Bergson 1859-1941, John Foster Dulles 1888-1959, John Stuart Mill 1806-1873, Luo su Russell, B. 1872-1970, Nikita Sergeevich Khrushchev 1894-1971, Ralph Schoenman, William Shakespeare 1564-1616 Time 1789-1900, 19th century, 20th century, 1955-, 1900-, 1912-1928, 1918-, 1955-1965, 17th century, 1912-1949, 1917-1936, 1918-1945, 1926-1945, 1945-1955, 1957, 1965-, 20e siècle, Geschichte, xian dai ID Numbers OLID OL112912A Amazon ID B000AP6YJG GoodReads 17854 ISNI 0000000121006514 LibraryThing russellbertrand VIAF 36924137 Wikidata Q33760 Alternative names Bertrand Arthur William Russell, 3rd Earl Russell Bertrand A. W. Russell Bertrand Bertrand Arthur William Russell Earl Bertrand RUSSELL L’éloge de l’oisiveté condamne l’excès de travail. Bertrand Russell défend dans son Éloge de l’oisiveté une limitation du temps de travail afin de partager celui-ci et de généraliser le loisir. Il prédit que, grâce à cette révolution, le bonheur remplacera la fatigue et que les hommes deviendront plus bienveillants les uns à l’égard des autres, au point de rendre la guerre inutile. Le droit à la paresse selon Paul Lafargue L’éloge de l’oisiveté est d’abord une critique de l’idéologie du travail. Bertrand Russell distingue cependant le travail désagréable et mal payé consistant à déplacer de la matière de celui consistant à commander à quelqu’un de le faire. À part le propriétaire foncier dont la rente lui permettait d’être oisif grâce au travail des autres, aucune classe ne pouvait s’offrir le luxe de l’oisiveté jusqu’à la révolution industrielle, car il était difficile de produire un excédent. Or, les machines ont changé la donne. Le culte du travail est donc une mentalité préindustrielle qui perdure alors qu’elle n’est plus adaptée au monde moderne. La technique moderne, écrit Bertrand Russell, a permis au loisir, jusqu’à un certain point, de cesser d’être la prérogative des classes privilégiées minoritaires pour devenir un droit également réparti dans l’ensemble de la collectivité. La morale du travail est une morale d’esclave, et le monde moderne n’a nul besoin de l’esclavage » Éloge de l’oisiveté. Dans le monde préindustriel, les guerriers, les prêtres et l’État ont d’abord forcé les paysans à travailler pour leur accaparer le surplus ; puis l’éthique du travail a rendu la contrainte inutile. Même s’il admet que l’oisiveté de l’élite a apporté une contribution importante à la civilisation, Bertrand Russell considère que le devoir de travailler est une ruse idéologique pour soumettre la majorité aux puissants. La prospérité du vice selon Daniel Cohen L’éloge de l’oisiveté de Bertrand Russell la présente comme une nécessité économique et sociale L’éloge de l’oisiveté en révèle l’intérêt économique. Bertrand Russell prend l’exemple de la Première Guerre mondiale alors que, grâce aux machines, seule une partie de la population a été nécessaire pour l’effort de guerre et subvenir en même temps aux besoins de la population, la morale du travail a conduit à remettre tout le monde au travail une fois la guerre terminée. La surproduction qui en découle suscite une crise, laquelle condamne toute une partie des travailleurs à l’oisiveté et à la misère, tandis que l’autre se surmène et n’a pas de loisir. C’est que les riches oisifs refusent toute forme d’oisiveté aux pauvres sous prétexte qu’ils la consommeraient forcément dans le vice. Pour Bertrand Russell, le travail se justifie sur le plan économique seulement dans la mesure où l’individu doit produire au moins autant que ce qu’il consomme. Chaque être humain consomme nécessairement au cours de son existence une certaine part de ce qui est produit par le travail humain. Si l’on suppose, comme il est légitime, que le travail est dans l’ensemble désagréable, il est injuste qu’un individu consomme davantage qu’il ne produit » Éloge de l’oisiveté. Au plan moral, cependant, les aristocrates se réservent l’oisiveté, quand les ploutocrates ne l’accordent qu’aux femmes. Insensible à ces préjugés, Bertrand Russell imagine que quatre heures quotidiennes de travail salarié organisées rationnellement seraient suffisantes pour subvenir aux besoins de toute la société. Le capitalisme selon Marx L’éloge de l’oisiveté en révèle l’intérêt social. Bertrand Russell affirme que l’individu a besoin du loisir pour accéder aux meilleures choses de la vie, ce que les travailleurs reconnaissent eux-mêmes. La pénibilité du travail n’est pas une fin en soi, elle n’est que le moyen de sa propre suppression, c’est-à-dire d’une existence plus heureuse. Plutôt que d’étendre le travail manuel à l’ensemble de la population comme en URSS, il faudrait donc, sitôt couverts les besoins essentiels, réduire progressivement le temps de travail de manière démocratique, par exemple en laissant le peuple choisir par référendum entre l’augmentation du loisir et celle de la production. Pour Bertrand Russell, c’est le divorce entre les fins individuelles et les fins sociales de la production qui entretient la confusion. De façon générale, explique-t-il, on estime que gagner de l’argent, c’est bien, mais que le dépenser, c’est mal. Quelle absurdité, si l’on songe qu’il y a toujours deux parties dans une transaction autant soutenir que les clés, c’est bien, mais les trous de serrure, non » Éloge de l’oisiveté. Étant donné les idées fausses, l’éducation est particulièrement importante pour réduire le temps de travail. Bertrand Russell appelle de ses vœux la démocratisation de la curiosité intellectuelle et scientifique, afin de libérer les citoyens des loisirs passifs football, cinéma, radio, etc. qui les attirent quand toute leur énergie est dépensée au travail. En effet, les produits de la civilisation sont dus à la classe oisive. Les bullshit jobs selon David Graeber Extrait de la publication Extrait de la publication Éloge de l’oisiveté Extrait de la publication Extrait de la publication                  Éloge de l’oisiveté Traduit de l’anglais par                             e ,        ,             Extrait de la publication              In Praise of Idleness La première édition deÉloge de l’oisivetéa paru en dansReview of Reviews. © Routledge&the Bertrand Russell Peace Foundation. © Éditions Allia, Paris,,pour la traduction française. Extrait de la publication     plupart des gens de ma géné-que la ration, j’ai été élevé selon le principe que l’oi-siveté est mère de tous vices. Comme j’étais un enfant pétri de vertu, je croyais tout ce qu’on me disait, et je me suis ainsi doté d’une conscience qui m’a contraint à peiner au tra-vail toute ma vie. Cependant, si mes actions ont toujours été soumises à ma conscience, mes idées, en revanche, ont subi une révolu-tion. En effet, j’en suis venu à penser que l’on travaille beaucoup trop de par le monde, que de voir dans le travail une vertu cause un tort immense, et qu’il importe à présent de faire valoir dans les pays industrialisés un point de vue qui diffère radicalement des préceptes tra-ditionnels. Tout le monde connaît l’histoire du voyageur qui, à Naples, vit douze mendiants étendus au soleil c’était avant Mussolini, et proposa une lire à celui qui se montrerait le plus paresseux. Onze d’entre eux bondirent Extrait de la publication

bertrand russell eloge de l oisiveté pdf